• 14.10.2013

     

    Chers internautes et admirateurs,

     

    Oui, j’ai tenu à créer ce blog envers et contre tout, car Manuel Diez Matilla est un peu à la peinture espagnole de la deuxième moitié du XXème siècle ce que le grand Manolo Caracol a été au Cante Flamenco, une figure légendaire, un artiste mûr et accompli, aux facettes les plus variées, un homme d’anthologie.

    Même si ma mère ne veut pas qu’on parle d’elle, j’ai voulu de moi-même faire un travail introspectif et rétrospectif sur mon père, ce si grand maître, ce si grand artiste, un des derniers de sa génération. Une génération sacrifiée comme le dit ma mère. Il méritait un travail complet, contradictoire et de qualité. Je lui ai porté toute mon attention, comme j’ai travaillé avec lui durant toute sa vie.

    Si des enquêteurs américains ont déjà évoqué la piste du crime en ce qui concerne Van Gogh, et si un tableau de Gen Paul de la gare de la Frette-sur-Seine était à l’affiche sur la place de la gare de la ville du même nom il y a deux ou trois ans, peu de gens ont fait de la communication pour lui, car Manuel Diez ne le souhaitait pas vraiment non plus. L’homme avait ses jardins secrets. Au gré de mon lieu de travail, je retrouve parfois quelques uns de ceux qu’il aimait et admirait.

    Je recommande aux internautes cet outil de travail intéressant, parfois assez captivant, qui sort des sentiers battus, et qui brosse un panorama interne et externe exhaustif de sa carrière véritablement extraordinaire et hors du commun. C'était un peintre hors pair, d'une très grande patience, d'une très grande propreté et maturité, il voyait " de loin ", il allait " au plus près ".

    Malheureusement, ce blog ne télécharge pas les photos des textes word, en revanche, des photos apparaissent bien sur les en-têtes.

    Je vous souhaite une bonne lecture, pour le moment plutôt en français, en espagnol, en allemand et en anglais.

    Avec mes plus sincères remerciements. Bonne visite à tous.

     

    Christian Diez Axnick.

     

     

     


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  • Poema cuatro.

     

    Sueño de ti

     

     

    Sueño de ti,

    Sueño de ti,

    Para mi alma que se va,

    Sueño de ti,

    Pero tu te marchas ya.

    Sueño de ti y te vas ya,

    te vas y no vuelves ya,

    Sueño de ti, te quiero ya,

    pero te vas ya,

    Y sueño de ti,

    Por aqui y por aca.

     

    Sueño de ti,

    Y no estas ya,

    Te fuistes sin mi,

    Tu paso no volvera,

    Sueño de ti,

    Por abajo y por arriba,

    Sueño de verte,

    saludarte y conocerte,

    Sopla el aire, levantan coplas,

    Sueño de ti,

    De nuestra copa,

    De aqui hasta mas alla.

     

    Paro el tiempo,

    Soplara el viento,

    Sueño de ti,

    Y si piensas en mi,

    No bailes ya con el vientre,

    Odio el vacio que dejastes,

    Odio el cabo de nuestro enlace.

     

    Christian Diez.

     

     

    Musica : Christian Diez  ( mi mi re mi )


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  • 08.10.2013

     

    Deux épopées.

     

    Deux épopées, oui, deux épopées dans ma famille.

    La première, l’exode depuis la Prusse orientale, à travers les glaces en pleins bombardements russes le long de cette terre immergée et de cette longue bande côtière que l’on voit sur la carte. Jusqu’à Danzig, l’actuelle Gdansk. Norbert était tout petit. S’ils étaient arrivés à temps pour prendre le bateau, ils ne seraient plus là. Mais aujourd’hui beaucoup ne sont plus là. Aujourd'hui , presque 70 ans après le cynique dépeçage de Yalta, la Prusse orientale est encore allemande à 65%, la Silésie à 55% et la Mazurie à 80%. Koenigsberg est l'ancienne capitale de la prusse orientale, les " Koenigsbergerklopse " étant le nom de plat national allemand.

    La deuxième, la grande époque de l’atelier à Arnouville, avec ces livraisons rue du faubourg Saint-Antoine, à Biarritz, à Tour, à Deauville, au grand Trianon ou ailleurs sur Paris ou en banlieue. C'était l'époque de la fourgonette fiat 238 de mon père, qui va des années 70 aux années 90.

    Et puis on pourrait presque en ajouter une troisième, avec ma carrière solo et personnelle, dans les bureaux d’étude de Paris et de banlieue, mais nous sommes une famille d’artistes, et aussi une famille de travailleurs. J'ai travaillé depuis dans la recherche mécanique, le plomberie et le désenfumage.

    IL y a quelques années, j’ai travaillé à Montigny-les-Cormeilles, là oû Gen Paul a peint la gare de le Frette-sur-Seine rénovée alors.

    Puisse ce blog consacré à mon père, sans compliquer inutilement les choses, permettre aux lecteurs d’accéder à quelques souvenirs qui ne sont pas sans importance. Le temps passe, tout ne s’efface pas si facilement d’un revers de main.

    Aujourd'hui, les drames de la vie et de la santé suivent et rattrapent déjà ces deux époques titanesques, que j'ai essayé de faire sortir de l'oubli dans ce blog.

     

     

    Dos epopeyas.

     

    Dos epopeyas, si, dos epopeyas en mi familia.

    La priméra, el exodo desde Prusia oriental, a travies de los hielos durante los bombardamientos rusos a lo largo de esta banda de tierra sumergida y de esta larga banda costal que se ve en la carta. Hasta Danzig, el actual Gdansk. Norbert era todo pequeño. Si hubiéran llégado en tiempo para coger el barco, no estarian ya aqui. Péro hoy dia ya muchos no estan aqui. Hoy dia, casi 70 anos despues del cinico reparto de Yalta, Prusia Oriental es todavia alémana al 65%, Silésia al 55% y Mazuria al 80%. Koenigsberg es la antigua capital de prusia oriental, los " Koenigsbergerklopse " siendo el nombre del plato nacional aléman.

    La segunda, el gran época del taller en Arnouville, cuando se iba a librar calle del Faubourg Saint-Anoine, a Biarritz, a Tour, a Deauville, el gran trianon o en otros lugares de Paris o de la région de Paris. Era el época de la furgoneta fiat 238 de mi padre, que va de los anos 70 a los años 90.

    Y enfin, se podria casi añadir una tercera, con mi carrera en solo y personal, en los buros de estudio de Paris o del suburbio, péro somos una familia de artistas, y tambien una familia de trabajadores. Trabaje desde eso en la busqueda mécanica, la plomeria y el desenfumaje.

    Hace unos años, trabaje en Montigny-les-Cormeilles, alli donde Gen Paul pinto la estacion de la Frette-sur-Seine renovada entonces.

    Pudiéra ese blog consagrado a mi padre, sin complicar inutilmente las cosas, permitir al lector de acceder a algunos recuerdos que no son de ninguna importancia. El tiempo pasa, todo no se aparta tan facilmente de un reverso de mano

    Hoy dia, los dramas de la vida y de la salud siguen y vuelven a coger estos dos périodos titanesques, que intente hacer salir del olvide en este blog.

     

    Christian Diez Axnick. 


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  •  samedi 25 mai 2013

     

             Manuel Diez Matilla : un grand génie de la peinture.

     

       Ce blog que j’ai tenté de faire évoluer depuis quelques années déjà retrace les aspects les plus essentiels et les plus méconnus aussi de l’époque, ou plutôt des époques, dans lesquelles s’est fondu cet artiste exceptionnel.

      Il avait ses idées forces, son caractère bien trempé, et j’ai pensé qu’il était judicieux de tenter de mieux appréhender et de mieux décrire son époque jusqu’à nos jours, pour ne pas tout perdre d’un coup, et afin de conserver le souvenir de cet homme extraordinaire, ce peintre et ce laqueur-décorateur exceptionnel et surdoué, qui synthétise si bien l’histoire profonde de sa région et de son pays.

      Puisse ce travail culturel, ce parcours profond, aider tous ceux qui s’intéressent à lui, et ceux qui l’ont apprécié ou aimé. Mon père est le grand oublié de la movida, le digne continuateur des plus grands. Avec un grand salut aux habitants de Toro ( los torésanos ) et au public si nombreux à le suivre.

      Ces textes n'ont pas vraiment valeur d'évangile, mais ils constituent une valeur d'information et de vulgarisation incontournable si l'on prend la dimension d'un tel artiste dans toute son acception.

      Bonne visite et merci à vous.

      Christian Diez.

     

            Manuel Diez Matilla : un gran génio de la pintura.

     

      Este blog que intente hacer evoluar desde algunos años ya retraza les aspectos los mas esenciales y desconocidos tambien de la época, o mas precisamente de las épocas en las cuales se ha fundido ese artista exepcional.

     Ténia sus idéas fuerzas, su caracter bien trempado, y he pensado que séria judicioso de tentar de méjor aprehender y méjor describir su época hasta nuestros dias, por no perder todo de un solo golpe, y con la finalidad de conservar el recuerdo de ese hombre extraordinario, ese pintor y lacor décorador excepcional y ultra-duado, que sintetiza tan bien la historia profunda de su région y de su pais.

      Pudiéra ese trabajo cultural, ese parcurso profundo, ayudar a los quienes se interesan a el, y los quienes lo apréciaron o lo quisiéron. Mi padre ha sido el gran olvidado de la movida, el digno continuador de los mas grandes. Con un gran saludo a los cuidadanos de Toro ( los toresanos ) y al publico tan numeroso en seguirlo.

      Estos textos no tienen de erda valor de evangélio, pero constituyen un valor de informacion y de vulgarizacion importante si se toma la dimension de un tal artista en toda su accepcion.

      Buéna visita y gracias a vosotros.

     

      Christian Diez.

     

     

     

     

     

     


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  • Manuel Diez Matilla: un destino olvidado





    Psicoanálisis de la obra de Manuel Diez Matilla

     

    Parte 11

     

    Por Christian Diez Axnick

    Refundición al jueves 3 de noviembre 2011

    ( Ese texto es ahora viejo, el texto franceses es mas recien )

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      Acabe este año en una misión de interim, donde he trabajado con el muy simpático Fernand Campos y con Manuel Majo. He trabajado para la estacion Saint-Lazare, en telecomunicaciones, fibra óptica, electricidad, iluminación, luces de signos etc…

     

    Y aunque Toro sigue siendo una importante capital artística, religiosa, legal y real, o taurina y incluso culinaria, con sus "Pastas" y su "bollos", su notables "Polvorones" o incluso política, arqueológica, viticola, Manuel Diez sigue siendo uno de los últimos representantes de su esplendor artístico.

    Es el uno de los últimos productos importantes que nacio alli. Aunque la mayor parte de su carrera tuvo lugar en la metrópoli. Algunos rastros del cristianismo a mitad païano permanecieron en su trabajo.

    Se fue hacia la síntesis cristiana, tradicional e histórica. Parte de algunos vinos de Burdeos proviene de los viñedos de Toro donde se  produce el "Sarmiento", o más bien a ser más correcto "Cermeño." Artísticamente, el siglo XVI esta muy representado, como el siglo de oro. Gérard Depardieu tiene unos buenos vinos a partir de ahí abajo. Fui con Nina donde su esposa Elisabeth en Bougival cuando vivía todavia Guillaume y cuando Julie era todavía soltera. Buscaba de una pareja de jardineros. Toro es un poco a la España lo que Jerusalén es a Israel. Un capital humano y social, el Téjar habiendo sido de alguna manera la Belén de mi padre.

     

    Como siempre para los artistas, hay que saber remeterse en causa, a la pregunta y continuar por los serpenteos sinuosos que llevan a nuestros respectivos objetivos, desarrollarse puertas de salida y avanzar hacia un mal menor sin perder completamente de vista sus propias ambiciones.

     

      España se encuentra en la encrucijada de los caminos. Sus oligarquías siguen representando el pasado represivo y sangriento de Europa. Tiene sobre sus antiguas bases, prisionera del terrorismo, morcelada y descartelada por sus autonomías que mantienen y contienen el sentimiento nacional.

    ¿Qué futuro tendra después de él, no sé. He quedado tan alejado de España, como mantenido a distancia, que no sé ya cómo dar el máximo a este país.

     

     Sin embargo, este país hizo todavia cosas incluso recientemente prestigiosas, como por ejemplo los excelentes resultados y el título mundial de La Roja, hizo hace poco progresos y sería difícil hacerlo en un país como Francia donde reina más libertad pero también una relativa anarquía bloqueada por un poder que vigila sobre todo. No regrese a Toro desde mucho tiempo, y me gustaría ir allí, solo sea para ir nuevamente sobre la tumba de mis antepasados.

     

      Lo que me gustaría mucho, seria ser mas rico y tener mas tiempo para pintar y volver a lo que hizo la vocación y las horas de gloria de esa pequeña parte de la familia Diez que somos. Es lo que sabemos hacer de mejor, mismo si todos, nos hemos dispersado desde la terrible muerte de mi padre. Hay que volver a la humildez, el cemento del arte.

     

      José-Mari, el mas joven de los hijos de Venancio, se ha lanzado en la pintura con un relativo éxito, del viviento de Christine y después de su trágica desaparición. Nos ha mismo depasados. Deseo dibujar y pintar mucho mas que hoy. Ingo pinta un poco. Yo he perdido mucho contacto con el caballete. Y adémas, otras técnicas modernas han cogido importancia. Las telas africanas de arena colorada por ejemplo. Keira, la hermana de Hanifia, me ofrecio una.

     

      Me gustaria, tras un breve pasaje por el arte moderno ( A un momento he sido inspirado por los tags y los graffitis ) y el surealismo, volver al arte clasico o neo-clasico, al impresionismo. Falto de tubos de pintura y de dinero. Péro si podria crear una actividad o una empresa, un taller, no diria que no. He tenido algunos contactos con Ute Hadam, una muy grande artista, y no desespero de volver a partir sobre buenas bases. Hay tambien Birgit Magler-Wieseman. Lo que cuenta muchas veces, es la voluntad, la humildez.

     

      La esperanza esta alli, nos tiende los brazos, en un mundo donde caso todo nos esta opuesto. Porque es a nosotros de saber recogernos, remeternos en cuestion. Hay que empezar todo de nuevo, volver a partir de cero.

     

      Lo que intente hacer al escribir el manuel de introduccion redigido en cuantro partes, y estos diez estudios psicoanaliticos, algunos siendo todavia perfectible, es de poner en evidencia un diaporama historico y cultural. Los textos autobiograficos de mi padre reflejan mas su propio pensamiento. Acuerdo una cierta importancia a las relaciones publicas, al debate de ideas, sin el cual el arte tampoco adelantaria.

     

    No quiero todo trahicionar, o librar las opiniones politicas de mi padre, porque era antes del todo un pintor apasionado, viviendo en una cierta desmesura, al pico de las posibilidades artisticas y picturales de su tiempo.

     

      Para los quienes lo han querido, y que han sido sus contemporaneos, tengo en acordar el perdon, la indulgencia. Me gustaria que sus obreros, los trabajadores de la sombra, los que ha conocido y escogido, tengan tambien su parte de gloria y de roconocimiento en la herencia que les déjo. Pédro, Ramon, Landrin, Agop Agopian y tantos otros.

      Es el minimo de las cosas. Manuel Diez no queria a la gente pretenciosa, las bestias a concursos y a diplomas, sino a la gente humilde que partida de nada cogia el riesgo empresarial con el, los que sabian estar y quedar en su plaza aprendiendo a progresar.

     

      Pudieran estos trabajos escritos, redigidos y pensados ayudar a una mayor comprension de lo que ha incarnado y arrepresentado, para que jamas se olviden los decoros aquaticos y florales, naturalistas, maravillosos y fabulosos que compuso. Para que se pudiera pesar a la luz del dia el trabajo acomplecido, maduro, su dexteridad, su extraordinaria diversidad de tonos, de colores y de nuanzas.

     

      Vuelvo a pensar en la catastrofe de Fréjus con esa digua que se partio, y en esa imagen de un hombre recogido delante de una cruz de la cual tiro varios cuadros al oléo, a empastamientos, como para el cazador de gilgeros. Mi padre se inspiraba de todo, partia de una idea, a veces de una foto para componer autenticas maravillas.

     

      Pudieramos volver a partir de cero, remeternos un cuestion, y andar de nuevo sobre sus trazas gravadas para siempre en nuestras memorias.

     

      Y al público, me gustaría decirle decir gracias, mil veces gracias de bien haber aceptado de seguirnos en nuestro viaje y en nuestras aventuras, para introducirse en la intimidad creativa de este gigante del siglo XX al quien debemos tantas y tantas maravillas. El mismo no ocultaba su admiración ante ciertas obras y algunos cuadros. Era capaz de asustarse, amaba su artesanía y la pintura era su pasión. Comenzó a los 4 o 8 años y ya nunca paro de pintar.

     

    Tengo a darles las gracias a todos, los visitantes de este blog, todas las personas, a lo largo de la multitud de anónimos que han seguido y se interesaron a este ser impresionante de audacia y inventividad, el incansable trabajador manual que el destino nos volvió a coger. Gracias a todos, y que nuestro Consejo, nuestro testimonio os sea útil y que mejor le permita situarse en el amplio mundo del arte.

    Este coloso de pequeño tamaño, que pesaba solo unos pocos kilos antes de su muerte, ha tanto trabajado para avanzar en los colores, la creación pictórica y estética, la innovación y el estilo de un trabajo fuerte y maduro. Así que muchas gracias, y que el viento este con vosotros, que os conduzca a buen puerto.

     

    El público es de alguna manera el Salvador no de las apariciones, sino de las realidades. Cuando pienso en el magnífico mobiliario de ropa en la casa de mi madre, con chinas que están representadas, yo digo que no tuvo muchas oportunidades de dejarnos algunas de sus obras maravillosas.

      Es la vida. Ya no existen artesanos de su escala. Hoy, los sistemas se ahunden, el mundo árabe bascula en terribles revoluciones proletarias. No es que la revolución no sea algo interesante, incluso emocionante. De hecho Hanifia es de todas las maneras y desde largo fuego de ese borde, pero el precio a pagar en términos de vidas humanas parece ser demasiado alto, para una ganancia administrativa y burocrática relativamente reducida. Ha habido también muchos muertos y mártires. Creo que incluso si algunos líderes tienen miles de millones, de la corrupción y el acaparamiento de las riquezas, estas revoluciones han dado lugar a un baño de sangre terrible. Lo que falta, es una alternativa.

     

     Después de él, que ha sido capaz de dar el cabo, los sistemas de valores se ahunden. No toman suficientemente en cuenta la vida humana. La vida humana debe ser algo sagrado. Europa no puede mezclarse tan fácilmente con los nuevos desafíos mundiales que plantea la pobreza.

    También es muy pobre. Como la América real del resto. La verdadera revolución solo puede estar dirigida por su consolidación y no lo contrario. Hay que tener al menos un pie en el poder, y si lo contrario es la hecatombe. Por lo tanto la mayoría de los líderes árabes que han caído han venido en Europa y los recibieron, pero son sistemas que no andan, proyecciones a largo plazo.

     

     Mi padre sabía no meterse demasiadamente en los asuntos de los otros, o en la vida de los démas, remetia todo sobre el negocio y continuaba su viaje, desconfíandose de los peligros de la historia, de los subterfugios, de las mentiras por omisión destilada también por los periodistas y el audiovisual. Llevaba su camino, sabía contemplar su trabajo, perseverar, continuar en un modo de vida moderado.

    Las revoluciones no son un mito, pero también cuestan un crédito enorme. La revolución es un objetivo que requiere una aclaración, un reconocimiento del necesario reparto del poder, una aceptación del ejercicio del poder. No puede alcanzar de otra manera. De allí nació y viene el socialismo, el único estándar aceptable por las comunidades, cuando los sistemas de derecha llevan a punto muerto.

     

    Acabe de leer el libro de Gérald Messadié, "Saladino, Caballero del islam", publicado en las ediciones del Archipel, y si el contagio que ha ganado el Magreb y el mundo árabe me parecio justificado, creo que la oposición debe aceptar el intercambio y experimentar el poder, o más bien las oposiciones.

     

     

     

     

     Acelera el mundo, debe ser un tejido, un amortiguador que puede activar la economía de la vida humana. Estoy de acuerdo con Gérald Messadié cuando dijo "el primer siglo de nuestra era, Jésus rompió el molde del judaísmo, que incluía a Dios como el maestro del bien y del mal, para imponer el concepto de un Dios exclusivamente bueno". También habla en su libro de las peripecias y advenidas a la verdadera Cruz, que los combatientes francos perdieron en una batalla. Aquello mi padre me lo mencionó también.

     

     Es cierto, por ejemplo mi madre regresó recientemente de España, y aunque es protestante, asistió a una Oficina en la parroquia San Julián de Toro con Mere. Jesús es también el hombre de la coherencia. Paso en el periódico, en una foto, con Mere, bajo una sección dedicada a la toreros. Ella y Mere están en la cola, a la izquierda de la otra.

     

     Básicamente, lo que me separa de mi esposa, es que estoy un poco más conservador, mientras ella no reconoce ningunos de los que están al poder en este país, que son todos chupones y astican las botas del nabote. Yo soy revolucionario del lado de un Bernardo Sandoval y su "Sendero luminoso", del lado de ideas verdaderas y más o menos socialista. Ella es bastante socialista y convencida que todos son malos. Cambia de cadena cuando aparece el rostro de Sarkozy o uno de sus amigos en la pequeña pantalla. No los puede ver ni sufrir.

     

     Estas personas, como antes los socialistas y Mitterrand, pero a un nivel menor con respecto a estos últimos, nos han hecho pasar del paraíso al infierno. El mundo de hoy no ofrece ningún otra salida a la contestacion que la lucha de clase o la lucha armada. No se puede ser uno para las dos partes, es imposible. Es adémas en lo que sigue siendo la fuerza de la iglesia en Castilla y Léon, su dureza y durabilidad, su intransigencia.

    ¿Por qué hemos perdido tantos sentido manual y costumbres de trabajo? Porque estamos en el proceso de ingeniería, la ingeniería civil, las oficina de estudios, las profesiones intelectuales. Recientemente, por tanto, he trabajado para la estacion Saint-Lazare, tanto en las telecomunicaciones, electricidad, fibra óptica y informatica, las luces, etc....

     

     Contrariamente a lo que creen muchos franceses, somos muchas veces nosotros los que hacemos prácticamente todo en este país. El Sr. Fernand Campos es un hombre alegre y jovial, un franco que se mueve hacia adelante. Nuestra civilización es franca. Los que van adelante son a menudo los más positivos, tenemos poco otros activos en el mundo contemporáneo. Nuestras posibilidades sólo están en la cohesión de las fuerzas y no en sus divisiones.

     

     Tengo a veces nostalgia por el taller, por nuestro antiguo negocio familiar, pero sin mi padre era realmente imposible continuar. O habría requerido que las pedidas de muebles y mesas afluyeran, pero nosotros no podíamos ya dar suficientes garantías a los clientes. Es una cuestión de tamaño, alcance y negocios cuando hay que hacer vivir hasta 10 empleados, nada es fácil, principalmente en razón de las cargas. La salida de Pedro precipitó las cosas demasiadamente, como para los démas.

     

      Me hubiera gustado seguir, pero en la verdad, no lo podía no conseguir solo. Hubiera necesitado al menos un empleado o dos. Entonces me costó renunciar. Además, Bernardo hizo saltar la instalación y el compresor en un intento de pasar a la fase tres a las dos fases. Poco a poco, se desintegró la transición con el taller paterno. No podía seguir el taller solo, aunque pude hacer una venta o dos con Nina. El sueño se desvaneció gradualmente. Pedro subio su empresa en el midi, una sociedad donde comenzó a trabajar con el barniz de poliéster.

     

     Para perpetuarse, los artes tradicionales requieren una columna vertebral, y es mi padre que la encarnaba. Sin él, nada podía turnar de la misma manera. Él sabía la respuesta para enfrentar los requerimientos y solicitudes de cliente. Hoy, puedo sólo volver a remeterme de esta época, ya que trabajo en las oficinas de estudios desde 20 años, pero a veces, un resurgimiento de la nostalgia me gana, de las esperanzas decepcionadas, de la grandeza pasada, del prestigio, de las entregas que estábamos haciendo en el Faubourg Saint-Antoine. Tengo dificultades para olvidar, lamento este tiempo donde vi a mi padre lograr maravillas y paisajes fabulosos, inolvidables.

     

    Creo que, finalmente he tratado de ser el mejor asistente para él, siempre le he apoyado, siempre estaba a su lado y a veces no me hacia regalos. Le occuria tener la crítica mordaz.

    Siempre tuvo un poco tendencia a meterme a parte, excepto cuando me necesitaba. Sabía que podía contar conmigo.

     

    Los acontecimientos que han ganado el mundo árabe desde algunos meses demuestran la vivacidad y la determinación de la revolución y el terrible armado de  represión que existe. El mayordomo de la Sra. Baronesa había conocido Youssoupof, el asesino de Rasputine. La Baronesa Gousry Roslan era rica y sabia usar de su dinero. Al menos mientras guardo Frogères en Soloña, una vez partida en Bormes-les-Mimosas en el Var, ya no era solo que un vlegumbre. Su final de vida ha una largo, porque murió muy antigua, nació con el siglo y murió con él.

     

      Ténia la Barona dos parientes mas o menos cercanas o alejadas, las dos tomando parte de la nobleza, una dirije todavia hoy dia un famoso parque botanico ( Saint-Jean de Beauregard me parece ), y la otra que conocio muy poco se habia casado con un noble aléman. Dieter y mi tia Gerda con su hija Daniela viven no muy léjos del castillo donde vivio, donde uno de sus retratos orna una pared. Fiestas han tenido lugar alli. Todavia una extraña coïncidencia.

     

      Ese mayordomo que estuvo a su servicio no estaba lejos de los eventos del lugar del asesinato que fue el preludio a la revolución bolchevista con su dolorosa y terrible procesión de 20 millones de muertos. De la misma manera, las revoluciones, los movimientos de protestación que han podido desarrollarse estos últimos tiempos en el mundo árabe, ya causando la caída de dos importantes líderes, son el resultado de décadas de tiranía.

     

    Se llevó el partido a ignorar los problemas de los pueblos, y esto es el resultado. Es el estancamiento y la escalada de terror. Pudieran los pueblos entender  razón y especialmente los déspotas canalla y multimillonarios que controlan esta parte del mundo, desde siempre y hasta hoy, en la represión y la sangre de los inocentes.

    Libia se ha inclinado en la guerra civil. Es la escalada de terror, con mercenarios de Liberia, francotiradores, una represión terrible. Además, Francia es uno de los países que ha mantenido la el tapiz rojo delante de Gaddafi sin mencionar el escándalo con Michèle Alliot-Marie y su partida y la de su compañero, Ministro como ella. Este país se ha convertido no en una cuna de las Artes y oficios, sino en un comerciante de armas que hizo el arco delante de todo el mundo.

     Estos antiguos déspotas no desean abandonar el poder. Ya se tenía el eco en los juegos de Barcelona, con todos estos ex secuaces del régimen nazi.

    Me gusta Cataluña, me gustan los catalanes, pero es difícil, si no imposible de entender cómo las personas que han exterminado la mitad de Europa con los nazis, borrado del mapa a los países bálticos, que participaron en las matanzas de masa las más grandes de la historia de la humanidad han llegado a acapararse los juegos y la dirección del Movimiento Olímpico durante un cuarto de siglo. Qué falta de reacción por parte de nuestras democracias, qué fracaso.

      Mismo Luis Napoléon III, que saco contra-reformas muy duras, no saco contra-reformas tan duras. El problema en España, es el sufragio auropéo y mundial, es que tal contra-reformas pudieran ver el dia. Aquí el asunto es un verdadero asesinato por la ignorancia. El mundo entero se ligo contra nosotros. Y el mundo entero paga las consecuencias de la política difamatoria que ha sido conducida contra nosotros desde siempre. A los españoles en Turquia les piden un visa, no a los demas.

     

      El único camino para hacerlos marchar, es la educación, la sensibilización de las masas y del pueblo cuando sus intereses vitales están en juego. Sin éxito para concienciar a la gente que líderes pasados expertos en matanzas masivas se han convertido en un peligro para la democracia y su futuro, nada es posible. Enviar a algunos desafortunados en el matadero o a la tímida no es tampoco una buena solución, es el más alto nivel que se debe intervenir, y esto no puede hacerse sin un máximo de credibilidad.

    ¿Y donde esta esta credibilidad cuando pienso todavía en los dos años de agonía en reanimación intensiva en el hospital de Gonesse y antes en Bichat pasados por mi padre? En ninguna parte en realidad.

    Mundos y universos se suceden mutuamente, sin que no se pueda hacer otra cosa que buscar el testimonio de un pasado glorioso. El final de la vida es algo terrible y indescriptible. ¿Qué es todo este valor realmente?

    Hoy trabajo y mi esposa también. Hace dos meses acabe una misión en la estación Saint-Lazare, redes, telefonía, Telecom, equipo, paneles iluminados. Es un sitio de un millón de euros y he sido prolongado de dos semanas. Despues he seguido como encargado de negocios en aire acondicionado. Por lo tanto, he trabajado en las instalaciones técnicas de la gare Saint-Lazare. Una limpieza de polvo llegada al punto en el momento adecuado. No habíamos realmente logrado en un momento determinado a renovar estación de Oriente por falta de créditos o de medios. Bastantes oficinas estaban en aquello. Pero nada realmente ha avanzado cuando todavía veo el deterioro de los techos. He sido contratado hace unos tiempos como encargado de negocios y tal vez volveré quizás en la estacion Saint-Lazare, todo depende del fracaso o éxito de mi nuevo contrato.

     

     Me gustaría revivirme, pintar de nuevo, pero dispongo de poco tiempo y de recursos limitados. No quiero hacer miserabilismo, y yo mantengo la esperanza. Pero la vida es difícil, el mundo se ha convertido en algo terrible, los tiempos han cambiado, los hombres no duran para siempre.

    En la Cumbre, especialmente su amigo Drucker ha sido largo Francia, Serge Gainzbourg. Es cierto que es un gran divulgador musical, un gran artista. Pero el 70%, el 80% de su repertorio proviene de Anton Dvorak y de algunos otros, Dvorak que él mismo logro sintetizar el repertorio tradicional y popular, como muchos de los compositores venidos del nacionalismo en Europa. Fui a verlo en concierto con David. No cumplía con sus músicos, pero el concierto fue éxito hermoso, poético y musical. Es cierto que la objetividad no siempre sofoca Europea. Otros grupos musicales importantes, tales como Maluzerne, muchos trajeron a la composición y música tradicional. Yo mismo intenta propia mis composiciones.

     

     Los productores de Johnny Halliday también recogieron Dvorak y una de sus sinfonias. En realidad, las variedades cogen al clásico, que el mismo extrae del repertorio popular. Por otro lado, es cierto que Gainzbourg sigue siendo uno de los raros que les tuvo la mano alta en los anglosajones.

     

     Maruja, mi tía era muy amiga con Narciso Yepes, siempre fue muy cercano a él. Eran amigos íntimos mismos. Mi padre me llevó a verlo en la salle Pleyel. Sin embargo, se negó a llevarlo en su furgoneta, su famoso fiat 238. Yepes lo tomó mal y le había sido rigor. Me dio la mano. Yepes amaba a los niños y dio muchas clases a pequeños, un monumento como él sabía ponerse al nivel de los niños. También he trabajado en una casa musical de la juventud (MJC) con Pierre Bénichou y Jean-Paul Beqvort, que también lo conocieron, familiares de Jorge Cardoso. Yepes fue probablemente, al menos en la aritmética, algebraica, el más grande que sea. Sólo algunos, como Lagoya y Ida Presti, Segovia, sus contemporáneos, también son importantes. Siegfried Behrend también. Conoci y vi dos veces con Hanifia a Emmanuel roessfelder, un alumno de Lagoya.

    El repertorio de Yepes es impresionante, alucinante, como el de Segovia. La guitarra tiene 24 o 12 cadenas, lo que hizo, fue su sustento durante su vida. Él y Maruja fueron muy relacionados, incluso habían registrado el concierto de Aranjuez, bajo la dirección de Kurt Masur. El disco de la RTVE, Maruja había ofrecido me, uno con los violines en la primera parte, como fue Joachim Rodrigo. Sin embargo, prefiero la versión de Behrend sin violines, que no es la versión oficial, pero que da más mordiente desde la introduccion. Pero siempre recordaré sin embargo el regalo de Maruja, que gravo bastante con el.

     

      Estudie mucho el flamenco, incluso con Andrés Serrita, el hijo de Serra y el hijo espiritual de Jose Antonio Sabicas. Me hubiera mucho gustado tocar algunas de sus obras maestras, como "noche de arabia", o "Mosaico tropical". Sólo me ha faltado tiempo.

    Hoy, me gustaría volver a la música moderna, al blues, al rithm' n blues y al rock and roll. Pero tengo poco tiempo. Compongo principalmente clásico y flamenco y me gustaria también salir fuera de mis bases y de algunos senderos trazados. Si tuviera más médios informaticos, podria editar mis particiones más fácilmente. He conocido a grandes grupos de ryth'n blues, partidos en los pasos de Clapton, incluyendo a amigos de infancia, Frédéric Roy, los Martin Boileu. Incluso han llegado a recorrer los Estados Unidos, Mustapha fue el cantante solista.

    No quiero criticar demasiadamente a Johnny Halliday, porque ha vivido es cierto. Fue un gran artista, a través de sus pasajes vocales, acuerdos y pasajes armónicos que él siempre ha logrado. Pero ahora me parece de una cierta edad, y no dispone de todos sus medios. Testigo sus murmuraciones contra sus productores.

     Se ha amargado. Sin embargo lo vi en el concierto que había hecho para el Ayuntamiento de París, el que que ha generado un gran revuelo por su demasiadamente consecuente sueldo al gusto de algunos.

    Ingo vio Eddy Mitchell en concierto, yo tuve la oportunidad de ver Jacques Higelin, que ha hecho mucho para el espectáculo, con efectos de escena, accesorios y cantidad de trucagios. Higelin es un hugonote, un gran artista de compañía. Ingo no quiere Johnny, sino más Elvis, Eddy Cochran, Gene Vincent y los otros grandes del rock. Con David tuve la oportunidad entre otras de ver los Dogs, una de las mayores bandas de rock francés, con notablemente ese increíble solista que tienen. Angelito, David y yo habíamos visto a Foreigner en las arenas de Fréjus. Con David también tuve la oportunidad de ver Bashung, Rita Mitsouko, los Damned y otros.

     

     La carrera de taxi de David se acabo mal. El que transporto a Gérard Oury, a Michèle Morgan, que mi padre había ido a ver en una de sus últimas obras. Se llamaba creo que "mi último amor será para usted". Fue a verlo al final de la pieza. Michèle Morgan es una muy grande actriz, una de las mayores actrices francesas con Suzanne Flon. Su familia ha tenido problemas con las drogas. Mi padre era loco de ella.

     

      David vivia mal, tuvo algunos problemas puntuales de dinero. Su mal vivir empeoro cuando fue separado de su novia, Laurence. Y, a continuación, la terrible enfermedad de mi hermano no arreglo nada. Me hubiera gustado poder enfrentarme a eso, pero yo mismo tenia problemas de medios. Se hizo de mas en más amargado, llegó a ser de mas en más violento.

    Y, a continuación, perdió su trabajo con los taxis parisienses. La muerte de mi padre también ha pesado mucho. Además, tuvo problemas con toda una especie de personas. No he sabido extraerlo de allí. Es como para Rémi Martin-Boileu, un amigo de infancia, que perdió a su hijo en un accidente automovilístico. No se sabe qué hacer. No se sabe cómo hacer. El mundo entero se le cae encima.

     

     El mundo es lo que es. La vida no nos hace regalos. Yo he sabido probablemente relativisar un poco méjor, superando mis fracasos y las tragedias de mi vida. Y, a continuación, he conocido Hanifia. Volvio a pasar en la emision de Julien lepers " Question pour un champion ". El otro día, ella fue suplente, pero como la bolsa no se ha caidolo no paso. Volvio a pasar mas tarde, siempre en los estudios de la Plaine Saint-Denis.

    Ya gano con una amiga. Habia perdido frente a un adversario meritante y muy brillante, y la podrán ver en la televisión en septiembre Ganó con ella me parece en la emisión "Motus".

     La había yo acompañada. Habíamos comido en un griego frente a los estudios.

     

     Ahora donde Lepers, hay una cantina. Falló varias veces el CAPES, ella tiene un muy buen nivel y una gran cultura general, muchos conocimientos. Tengo buena esperanza. Ella sabe casi todo sobre literatura y el francés antiguo. Hanifia tiene amplios conocimientos y dispone de una sólida cultura general. Espero que gane otra vez.

     

     Mi madre viaja mucho desde la muerte de mi padre. Viajo en al menos 8 países. En San Petersburgo y en Moscú, en Rusia, en Königsberg, ciudad de la antigua Prusia Oriental, en Polonia por donde paso.

     

     Estuco solo dos dias en San Petersburgo para visitar el Museo del Hermitagio, que esta desde siempre un poco en competencia con el Museo del Louvre. La Ermita es en realidad mas grande, mismo si se ha ampliado el Museo del Louvre, también trabaje adémas en su extensión, para la torre cuadrada. La Ermita junta sin embargo muchos más objetos, sobre todo por su densidad. Se necesita por lo menos una semana para la visitarlo, y todavia, sólo en parte. Dispone de reservas por lo ménos tan considerables que las del Museo del Louvre.

     

      La lleve hace poco con Angelines ( Illan ), se marcho para Antalya en Turquia, donde ella ya habia ido tres veces y, por último, esta vez visito la Capadoccia . Ella ha ido a Dubrovnik en Croacia, después del final de la guerra, en Egipto, a Roma, donde pudo ver las increíbles riquezas acumuladas por el Vaticano, San Pedro de la Basílica y la Capilla Sixtina. Estuco también fue al Marruecos, como Ingo.

     

      Viajó extensamente y conoce bien el mundo. Planea realizar otro viaje en Prusia Oriental, donde nació, en Momehnen y Gerdauen-Neuendorf, ciudades que están hoy en Polonia y Rusia. Nació en Gardauen.

     

      Todo este revuelo ha con,tribuido a alejarme de las artes tradicionales y de la pintura, pero me trajo tambien su punta de modernidad. Y, a continuación, es una apertura sobre el mundo, ya que por mi parte, he viajado poco, sólo visité una vez a mi nueva familia en Argelia.

     

      Me gustaría bien ver un día la Sudamérica o el Caribe, pero realmente lamento no haber podido ir con ella. Tal vez un día si llego a la jubilación. Me gustaría ver a Berlín y hacer el viaje de Prusia Oriental, o visitar a mi familia en Dresde. Por último y por qué no, hacer un día el viaje en tierra santa.

     

     Berthe Mann no quiso ir a Turquía con Angelines y Christa por causa de los problemas entre Israel y Turquía. Le da Miedo.

     

      El ascenso en las encuestas del frente nacional en Francia no arregla las cosas tampoco. ¿Quiere realmente la gente salir de la zona euro? En todos los casos debe meditar sobre esta cuestión. Cuando se tiene la moneda la más fuerte del mundo, es se trata de dar la espalda a Europa. Los estadounidenses están muy contentos con esta situación. Y no están solos.

     

     La FED había causado el krach de 29 en los Estados Unidos, no entrare en los detalles, Hitler había conseguido engañar todo el mundo llegando al poder justo en el momento de la deflación, y luego hubo el 1996 con la crisis de los sub-primes. A cada vez todo esto ha llevado a conflictos mundiales. Esta vez, podria ser que las cosas vayan de la misma manera. Los testigos pasan al rojo.

     

     La situación es muy difícil. Actualmente estoy trabajando como encargado de negocios. El otro día visité un sitio del boulevard Haussmann, y también es en este mismo boulevard que Jean Sorel, que es muy rico y pasa a ver a su esposa cada día en el lugar de trabajo de Hanifia, tiene un edificio particular. Hémos pasado por allí para ver la exposición de los Romanov en la pinacotéca de París, detrás de la Madeleine.

     

     La exposición, que reúne a colecciones privadas es bastante pequeña y incluye relativamente pocas pinturas, pero incluye sin embargo un retrato de viejo de Rembrandt, otro rostro de viejo hombre de Tiepolo, unos cuadros de maestros españoles, incluyendo Murillo, Ribera, Alonso Cano, holandeses, italianos, unos Courbet, unos Derain y tantos otros.

     

      Si la naturaleza teme el vacío, y esta frase resume a ella sola todo lo que puede haber de consistente en el trabajo de mi padre, tengo que decir que las pinturas de la Ermita ( No la Ermita de Toro, sino la de San Petersburgo ), que soñaba el de ver un día, son suntuosas obras maestras, y los de la pinacotéca son sólo una pequeña parte de ellas, adémas esta exposición incluye relativamente pocas telas.

     

     El terremoto reciente y terrible en el Japón, seguido por un terrible tsunami que araso a ciudades del mapa, sin contar los problemas todavia péores con la explosión de varios reactores nuclearios, todavía demuestra a que punto cómo la naturaleza tiene horror del vacío. Yo estoy tomado de vertigios delante de la fuerza y del poder de la naturaleza, somos solo insignificantes fetos de paja. Las consecuencias seran muy graves.

     

      Si los judios ya no son que 13 miliones sobre tierra, hay que saber que Hitachi, con quien trabajo y que fabrica tambien enfriadores en el nucléario, es en realidad desde el origen una empresa familial y paternalista, no una empresa de estado, sino privada. Destaca el amplor del problema en el acercamiento de los apuestos nucléarios.

     

      El nucléario tendria mas que estar confiado a empresas nacionalizadas, con una comision consultativa y organos representativos. El problema del enfriamiento es que se necesita al ménos un o dos sistémas de socorro, si no es mas.

     

      Hoy dia se ve de mas en mas, la situacion es terriblemente dificil. Una coléga de Hanifia perdio su hermano, que era un joven agente de policia en Cote d'Ivoire. Caio en una emboscada tendida por los rebeldes. Vino a trabajar y se lo anunciaron asi de repente. Ha vuelto al trabajo adémas.

      En cuanto a los catástrofes nuclearios de Japon, a las guerras civiles en Libia y en Cote d’Ivoire, nos llevan de mas en mas hacia el ahundimiento. Los ecologistas marcan puntos. Es necesaria una alternativa al nucleario. Vendra de una mejor gestión de la fuerza marea-motriz ? De otros descubrimientos ? No se sabe por el momento, pero se sabe que el nucleario puede ser muy peligroso entre otras combinado con catástrofes naturales. Su gestión humana y técnica esta en causa. De la misma manera no llegue a gerer la situación con David.

     

       Ultimadamente, tuve la suerte de pasar una semana en Guardamar del Segura, en el valenciano, y otra en Toro. Estaba yo muy emocionado de volver a ver Toro, que no ha cambiado mucho. Desde Guardamar, hemos subido a Alicante, y tras haber podido admirar sus murraillas, hémos bajado tambien a Cartagena, donde hemos podido ver el anfitéatro romano y los esplandidos balcones de la ciudad.

       En Toro, hemos notamente visitado el manasterio de Santi Spiritus, la plaza de toros, los conventos, la colegiata, la Hermita, el Tejar, nuestra propiedad, y otros lugares. Hemos bajado a España por Catalunia, y hemos vuelto a subir por pais vasco y las Landes. Que emocion al ver Toro de nuevo, donde Mere tiene un piso en una calle que da sobre la Colegiata. De alli, hemos ido con Angelito a Zamora, y despues a Tordesillas.

      Las vistas sobre Pelleas y Valdefinjas, de donde son los antapasados de mi padre, son magnificas.

     

      Mere tiene un cuadro esplendido de mi padre, una representacion con Josef y Maria que le presenta el niño Jésus. El convento de Santi Spiritus esta a dos o tres calles de donde Mere. Una hermana nos acudio, y una mujer que estuvo en el consistorio con Juan Basi, el hermano de Ambrosito y el otro hijo de Atilana, su hermana, nos hizo visitar el manasterio y sus admirables cuadros.

      Doña Beatriz de Portugal, la mujer de Juan Primero, descanza alli. Por encima, su corona esta alejada de su cabeza, porque perdio la guerra de succesion de Portugal. Ha sido reina de España 8 dias créo yo. En el lado, «  las descalzas » le han metido la corona sobre su cabeza, porque todavia la consideraban reina de Portugal.

      Hay maravillas en este convento, y un olivar de mas de 800 años, obras excepcionales del arte medieval español y flamenco. Toro es tambien la ciudad de las dos hijas del Cid Campeador, inclusa Leonor que no vivia muy léjos. La casa del Cid se encuentra en Zamora, la hémos visto tambien.

      Cuando hémos bajado a la Hermita, Ambrosito estaba alli con sus amigos. Angelito nos hizo tambien visitar el anciano bastion de los reyes de España, y un lugar donde se encuentran hoy dia asosiaciones «  Conde » no se que, Marquina, o algo asi. Pilares y una marqueteria de madera han sido vueltos de hacer sobre tres pisos.

       En Guardamar, Mere y Javi tienen un piso, el resto de la familia tambien, Ramon tiene tambien un piso. Queria ver a Victoria, la pequeña hermana de Noël.

      He léido el libro de Allen Carr para parar de fumar en las playas de Guardamar. El parque Alfonso ( X o XII créo yo ) que da sobre la playa es remarquable, con sus paones y sus gritos de amor, las tortugas, los canardos y las oacas.

      En réalidad hémos ido de Guardamar a Madrid resubiendo por Madrid, y pasando por el Escorial y el valle de los caidos, y despues pasando por la provincia de Ségovia y la me parece de Avila. Con mi padre, nos parabamos en Tordesillas o en Villanueva del Campo, pero no esta vez. Hémos ido despues de nuestra llégada.

      La vista principal de Toro sobre la llanura del duero es siempre tan majestuosa, y el puente romano que hémos atravesado es tambien una maravilla. Una gorda culobra nos esperaba a nuestra llégada al Téjar, se doraba al sol, como para déséarnos la bienvenida.

      Hanifia enregistro en «  Question pour un champion », la acompañe a la Plaine du Landy, no muy léjos del estadio de Francia, donde el maquillador y el peluquero la recibieron. Concurio por la tarde, y la emision debia de pasar hacia el 9 de septiembre o algo asi.

     Desde mi regreso de España, he seguido la actualidad, el verano arabe, y si Hanifia es muy de izquierdas, tengo sin embargi miedo de la dificultad que espera estos pueblos para cogerse en mano y en carga, la meta es redutable, y se pueden temer contra-revoluciones o contra-reformas. Hasta ahora, se asistio sobre todo a un baño de sangre, cada campo se ignora y se combate.

     Por mi propia parte, estaba yo particulariamente emocionado de volver a ver mi pais, y de poderme arrecoger delante de la tumba familial y de la tumba de Vicente, mi tio y el marido de Mere, de volver a ver Javier y Angelito, mis primos, sin contar los hijos de Javi.

      Me gustaria bien que el mundo sea mas facil, que el trabajo, la paz sean accesibles a todos, y el movimiento de los indignados es tambien el de los que piden trabajo. España cuenta 20% de parristas contra 9% en Francia.

      Angelito, que es el mas ilumiado de todos, es el que mas sostiene ese movimiento, que era muy activo en Zamora, tiendas se subiéron sobre plaza.

      Lo que quieren «  Los indignados », es hacer mover las lineas, alli donde el partido comunista se cargaba de hacerlo antes. Hoy dia, ya no existe, o sea se necesitaba una alternativa, otras formas de contestacion.

      Ciertamente, se necesitaria mas solidaridad, pero los estados de derecho reaccionan tambien. Cada pais quiere asegurar la seguridad y el derecho publico. Pero tambien hay que reconocer que solo la movilizacion de masa puede permitir de asegurar nuevas conquistas sociales.

      Volver a ver Toro, la ciudad natal de mi padre, ma ha como revigorado, que emocion al pasar el primer arco de la ciudad, y al ateñir el Arco del Reloj. Habiamos cogido a la izquierda un avez llégados a su altura para conturnar la avenida principal y ir a casa de Mere. Ciudad leyendaria, cumbre de la cristiandad en España, ciudad que arrepresenta tanto para el pais. Doña Pilar de Borbon inauguro los trabajos de renovacion de la Colegiata que estan en curso. Mi padre pinto tanto en esta ciudad y en su afoz. Pudiera su recuerdo guiarnos en nuestras orientaciones futuras, vueltas tan dificiles por los tiempos que corren.

      Hemos paséado por Toro, por ejempulo desde el Arco del Reloj al otro pasaje, Manolita, una amiga de tia Angelita, vivia en esta calle.

      En los bares, se entendian los clamores debidos a la victoria del Barça en copa de Europa. La vieja España es viviente, y mas que nunca.

     

      Esperanza, el guia que nos hizo visitar las arenas, era una « toresana » tipica de la region, con ese hablar espanol tan particular y tan charman. He posado con un grupo a la salida de la plaza de Toros. Hémos volvido a ver Esperanza cerca de la colegiata, a la salida del museo que se encuentra en la calle principal del Arco del Reloj. Como la Sra conocia Angelito, nos déjo visitar el museo gratuitamente.

      Hace unos tiempos, hémos ido a ver «  Le chat du rabbin ( el gato del rabino ) », una pelicula tirada de unos tébéos, con una musica de Enrico Macias. No he podido ver la exposicion Manet, pero he visto la del ayuntamiento de Paris, y la de Giverny.

     Ingo recientemente volvió de China, donde visitó de nuevo a Pekin y fue a Wu Deng mil km más al sur, Wu Deng cuna de los artes inter (Thai Chi, Chi Kong etc). Volvió con noticias interesantes. Los chino trabajan artesanalmente el cobre y lo pintan en colorido diverso, sólo el interior de los objetos no es estanco. Sin embargo, China ha sido ocupada por los mongoles hasta 1920. Volvió con el pequeño libro rojo de citaciones de Mao Tse Toung. Intentare leerlo una buena vez por todo.

      Mi madre se fue a Alemania hasta finales del mes. Leí el libro de Patrick Süskind " El perfume ", que encontré bastante bien, y estoy sobre la lectura del libro " el Príncipe ", de Machiavel. Hanifia saldrá en la televisión hacia el 8 o el 9 de septiembre, después de haber registrado a " Questions pour un champion ". Pues perdió frente a un candidato hay que decirlo particularmente brillante.

      De lado del trabajo esto no marchó demasiado este año. Realicé la climatizacion de la embajada de Burkina Faso recientemente. Pero voy posiblemente a volver en el medio médico, porque las misiones son demasiado inestables.

     Finalmente, Hanifia paso a Questions pour un champion el 8 de septiembre 2011, y logro la final como en el 2003. Su vencedor, muy brillante, esta todavía. Volvera a pasar a Montus, donde ya gano con una amiga.

     El 11 de septiembre es nuestro aniversario de casamiento, puesto que nos hemos casado un año antes de los atentados del World Trade Center. José-Mari, que se ha hecho operar, tuvo un accidente con un lobo a las afueras de Barcelona. No quedaba nada del coche y del lobo, pero salio el indemno.

     

     

     

     El último domingo, 11 de septiembre el embajador de Alemania hizo un discurso en la iglesia alemana. Mi madre estaba allí y debía ir allá, pero finalmente no fui allá.

      Finalmente, Michel, el vencedor de Hanifia ganó luego 5 veces y hace derribar la hucha. Dijo respecto a Hanifia que había estado a punto de hacerse roer. Realizó un bello ascenso frente a él y habrá sido de sus adversarios más importantes

        Hanifia ha vuelto a paser en Motus el 6 de octubre. Ganó 500 euros. Fuimos a ver la película " Un cochino para Gaza ", una parodia notable y humorística de las relaciones israëlo palestinas. Espero que obtengamos el crédito para nuestro pabellón.

        Estoy sobre la lectura de un retrato de Sartre por él mismo esto que debería permitirme aprehender mejor su obra.

     

     

     

     

     

     

     


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